Comment les acteurs et usagers de l’école s’imaginent-ils les cours d’arts plastiques ? Cette représentation intérieure véhicule ce que nous transmettons de manière forte à nos élèves, à leurs parents, à nos collègues, aux chercheurs, etc. Les élèves, une fois adultes, endossent de nouvelles fonctions ou tout simplement en devenant parents, vont participer à cette édification de systèmes de représentation d’un cours d’arts plastiques. Mais plus qu’une représentation, le concept de « conscience disciplinaire » peut nous permettre d’identifier ce que nous avons réussi ou au contraire pas assez investi dans nos cours. C’est un précieux indicateur.
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Le concept de « conscience disciplinaire » a été forgé par Yves Reuter. « J’avais proposé de définir la conscience disciplinaire comme la manière dont les acteurs sociaux, et plus particulièrement les acteurs scolaires, (re) construisent les disciplines scolaires. » écrit-il dans son article La conscience disciplinaire. Cette conscience touche à la fois les usagers, les élèves mais aussi les parents, les collègues des autres disciplines. « La conscience disciplinaire désigne la manière dont les acteurs sociaux et plus particulièrement les élèves (re)construisent les disciplines scolaires. » Un tout petit élément de cette citation est frappante: pourquoi écrire (re)construire ?
Mais tout d’abord: qu’est-ce qu’une discipline ?
Une discipline scolaire est une construction sociale organisant un ensemble de contenus, de dispositifs, de pratiques, d’outils, articulés à des finalités éducatives en vue de leur enseignement et de leur apprentissage à l’école. (REUTER)
« Les disciplines sont l’objet de constructions au travers de luttes, de compromis, et d’adaptations » Y. Reuter (1)
Il s’agit de mesurer l’écart entre les visées et finalités des disciplines avec les constructions et représentations qu’ont les élèves de celles-ci: limites, freins, enjeux, objectifs, contenus, etc
Reuter a étudié durant de longues années ce concept de « conscience disciplinaire » dans différents milieux (favorisés et défavorisés) appliquant différentes pédagogies (Freinet) autour des sciences, des maths et du français.
Les élèves en cours suivent nos procédures et, lentement, se forgent une image de cette discipline en fonction des gestes, de toute nature, opérés durant celui-ci. Cette (re)construction peut être sommaire comme très élaborée.
Reuter a constaté que bien souvent des enfants du primaire avaient une réelle difficulté à caractériser les disciplines. « Le cas le plus frappant, mais aussi le plus récurrent, est sans doute celui du français comme discipline où il s’agit de « baratiner ». Le cours d’arts plastiques peut être vu comme un cours où on fait n’importe quoi. C’est bien ce n’importe quoi que j’ai entendu à de nombreuses reprises à la fois par les étudiants mais aussi par des collègues du secondaire lorsque nous travaillions dans les années 1998 de manière pas assez sctructurée. A cette époque, nous devions proposer des « incitations ouvertes » et la notion de réinvestissement n’existait pas. Bien souvent, les essais effectués par les élèves finissaient à la poubelle, d’où ce n’importe quoi. Aussi, on pouvait entendre dire « plus c’est moche, plus le prof aime ! ». Est-ce la « conscience disciplinaire » qui était à l’oeuvre dans ce « n’importe quoi » ou ce « moche » ou alors ne serait-ce pas une sorte « d’inconscience disciplinaire » ? Autre exemple flagrant, combien de collègues nous tiennent encore pour des professeurs de dessin ? N’a-t-on pas été souvent sollicités pour faire une affiche, un décor de théâtre, des illustrations et j’en passe … Quelle image bien réelle, concrète et non pas fantasmée donnons-nous à nos collègues ? D’où vient cette part de fantasme : de notre enseignement ou alors de ce qu’ils ont reçu comme enseignement des arts plastiques quand ils étaient enfant ?
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Mais qu’en est-il aujourd’hui ?
La conscience disciplinaire se mesure à partir de trois axes:
- Les contenus appris dans telle discipline
- Les modes de repérage des disciplines par les élèves (de quels indices ils se servent pour identifier la discipline).
- Les fonctions ou finalités qu’ils attribuent à telle ou telle discipline (2)
Les étudiants de M2 Master MEEF, ont répondu ainsi à ma question:
« Que représente pour vos élèves un cours d’arts plastiques ? ». Sans hésiter ils ont répondu :
– un cours ou on dessine, quelque chose d’amusant, du plaisir, c’est peindre, faire travailler son imagination, créer, un moment de compétition entre les élèves, se sentir valorisé pour ceux qui ne le sont pas dans les autres matières, faire plaisir, essayer de faire plaisir à l’enseignant et aux parents, montrer sa production savoir si c’est bien, on peut faire ce qu’on veut sans trop de contraintes, on fait ce qu’on a envie de faire, où on peut se salir, jouer avec la matière, la liberté.
Il est intéressant de remarquer que les actions précises sont mentionnées: « dessiner, peindre » mais curieusement manquent les expériences en volume … Ce point devrait nous alerter. A aucun moment, il n’est mentionné le rapport à la culture, le rapport aux savoirs ni l’étendue des pratiques. Mais aussi on peut remarquer que l’envie, le plaisir, la liberté sont bien présents. Comment distinguer alors un cours d’arts plastiques d’une activité de loisirs ?
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Puis, en affinant ma demande, toujours avec ces étudiants de M2 MEEF, je leur ai demandé ce qu’un cours d’arts plastiques représentait pour eux mais cette fois-ci en tant que futur PE:
« Un moyen de s’exprimer, voir la particularité de chacun des élèves, un moment de partage et d’échanges, moyen d’amener les élèves vers la culture, un moment de liberté : ils peuvent faire ce qu’ils veulent, être plus libres que dans les autres matières, on met les élèves en position de recherche, ils construisent leurs savoirs, on s’amuse aussi, on travaille la verbalisation de sa production, un moyen d’évaluer la sensibilité des élèves, mettre en avant sa sensibilité, découvrir d’autres pratiques, liberté, une ouverture vers les oeuvres d’art »
Quand on confronte ces deux points de vue, on peut tirer quelques conclusions:
- l’impact culturel de notre discipline est encore flou: la relation pratique/références artistiques n’est pas mentionnée.
- les usages du numérique sont totalement absents. Les pratiques contemporaines également.
- un moyen de s’exprimer: est-ce suffisant ? Le cours d’arts plastiques n’est pas qu’un cours d’expression. C’est un cours où l’élève prend conscience qu’il peut, avec un langage qui a ses codes, son histoire, ses perspectives, exprimer ses idées autrement qu’avec des mots.
- En revanche, mettre les élèves en position de recherche a bien été perçu par de nombreux étudiants. La démarche plastique a bien été comprise. Il reste à travailler le lien pratique/oeuvres artistiques.
Le moyen d’évaluer une sensibilité d’élève intrigue … Est-elle évaluable ?
Nous remarquons que les finalités d’un cours d’arts plastiques ne sont pas bien représentées par les étudiants.
« Les objectifs et finalités des disciplines sont, comme je l’ai signalé précédemment, moins bien perçus que les contenus. »Reuter.
Mais partons maintenant des paroles d’enfants de CM2 récoltés durant une visite de stage:
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Que fait-on en cours d’arts plastiques ?
« Un cours de dessin », savoir plus sur autre chose, sur les oeuvres des artistes, de reconnaître comment ils font : la forme, on fait du travail manuel, on fabrique des choses en volume, on travaille en groupe, on dessine, on réalise des affaires que Madame nous dit, on réalise et on s’exprime, on met des couleurs, on découpe, de la peinture, on discute de ce qu’on a fait,
Des dessins, on essaie de réaliser notre idée en art, on peut peindre, on se repose car les autres matières sont fatigantes, on peint, on dessine, on fait des choses , on dessine. On construit des choses en volume, on se regroupe autour d’une table et on discute pour mieux comprendre ce qu’il faut faire. On crée, on essaie d’inventer de nouvelles choses, on apprend ce qu’est de l’art, on apprend à faire de l’art,
On voit bien que les élèves de cet enseignant débutant ne sont pas encore rompus aux problèmes ouverts mais qu’ils ont reçu cependant un questionnement tout au long de l’année. « On réalise ce que Madame nous dit » en est l’illustration. Mais, j’endosse le rôle de l’avocate, ce professeur n’a eu que peu de temps pour instaurer une nouvelle pédagogie dans sa classe et il s’avère que les élèves ont été modélisés durant des années par des cours à la manière de ou des situations modélisantes. Les réponses de ces élèves montrent un premier pas vers le questionnement plastique. Notons également que l’idée de compétition est totalement absente chez les enfants. Voilà une projection erronée que se font certains étudiants du dispositif socio-constructiviste de notre disdipline que les élèves ont bien compris : ils s’agit de construire ensemble des savoirs et des apprentissages sans souci de performance ou de compétition.
C’est quoi l’art ?
C’est quand on commence par des principes puis on essaie de faire quelque chose avec.
Un cours d’arts plastiques : ça sert à quoi ?
A s’amuser, à apprendre à faire des dessins, à réaliser des affaires, ça sert à savoir ce qu’on va faire (à quoi ça sert de discuter ? )
Si on veut mettre quelque chose dans un musée, le cours sert à ça
Pour apprendre à dessiner, ne pas dépasser, à peindre, à faire du volume,
Ça fait travailler la mémoire : ça nous fait réfléchir pour réaliser nos travaux. on réfléchit quand on réalise, quand on dessine
A mieux peindre, de s’amuser,
S’amuser, à faire des choses pour la classe, à créer,
Les élèves ont des réponses variées où se mêlent à la fois la conscience d’un ou des apprentissages mais ils sont encore comme prisonniers de clichés tels que dessiner sans dépasser, le dessin comme moyen essentiel de la discipline. Mais certains d’entre eux ont déjà une vision culturelle de la discipline … donc de l’art. D’autres sont encore affectivement liés à leur Professeur quand ils répondent qu’ils produisent des choses pour faire plaisir à la maîtresse. Le plaisir revient de nombreuses fois dans ce qu’ils perçoivent de la discipline. Il faut remarquer que leur conscience disciplinaire est bien élaborée pour des élèves de CM2. Nous voyons bien que la volonté de faire plaisir à la maîtresse vient en premier et qu’ils ne pensent pas, comme l’ont imaginé les PE quand je leur ai posé la question, à leurs parents. La relation au maître est fondamentale.
Ce qui est intéressant dans ce concept de conscience disciplinaire c’est que celle-ci est le résultat d’une construction (réitérée) à la fois interne et externe. Interne dans le sens qu’un élève se construit tantôt seul et externe lorsqu’il est en connexion avec les autres, le contexte, le milieu environnant. De plus, chose que ne permettait pas la « représentation » disciplinaire, la conscience disciplinaire peut comporter différents degrés ou niveaux s’affinant au fur et à mesure du cursus de l’élève. « la notion de conscience disciplinaire insiste sur le fait que le « sujet didactique » ne se constitue véritablement qu’en tant qu’il est conscient du cadre disciplinaire où il s’inscrit et qu’il construit ses pratiques et les évalue à l’aune de ce cadre. » . C’est un concept dynamique et non statique comme c’est le cas dans la représentation.
Reuter dans son article précise bien cette dimension croissante de la conscience disciplinaire mais à aucun moment il n’évoque ce que je voudrais appeler « l’inconscience disciplinaire ». Lorsque l’élève subit son cours d’arts plastiques, il génère du refoulé qui tôt ou tard va rejaillir sur sa conscience de la discipline.
Par exemple, l' »endocept », cette manière d’articuler et de réactiver émotion/apprentissages est quelque part lié à l’inconscient.
Autre exemple, sommes-nous toujours conscients de nos sources quand nous sommes confrontés à la création ?
Pour ma part, l’inconscient disciplinaire est également à l’oeuvre dans nos représentations de nos disciplines.
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On pourrait même avancer l’idée du « refoulement » disciplinaire … Mais là, commence la psychanalyse qui n’est pas au centre de cet article.
Par exemple, la façon de morceler le cours d’arts plastiques en phases assez courtes de pratique puis des mises en commun ne génère-t-elle pas du « refoulé » chez l’enfant obligé d’interrompre contre son gré alors qu’il est en pleine phase de découverte ? J’ai vu une Professeure des Ecoles Stagiaire interrompre au bout du timing qu’elle avait élaboré les élèves qui étaient tous bien plongés dans leurs investigations plastiques …
Par exemple lors des mises en commun, ne crée-t-on pas du refoulé chez l’élève qu’on interrompt car il reste trop descriptif dans son analyse de son travail, perturbé par le besoin urgent de voir apparaître le vocabulaire de notre matière ?
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La conscience « au sens psychologique, se définit comme la « relation intériorisée immédiate ou médiate qu’un être est capable d’établir avec le monde où il vit ou avec lui-même ». En ce sens, elle est fréquemment reliée, entre autres, aux notions de connaissance, d’émotion, d’existence, d’intuition, de pensée, de psychisme, de phénomène, de subjectivité, de sensation, et de réflexivité. »Wikipedia.
« En psychologie, l’inconscient désigne les phénomènes inaccessibles au champ de la conscience. » idem.
Sommes-nous certains de ne proposer aux élèves que des phénomènes accessibles directement et instantanément à leur conscience ?
« Le refoulement est « un processus supposé par moi et je l’ai considéré prouvé par l’existence indéniable de la résistance » écrivait Freud dans son livre Cinq leçons sur la psychanalyse. Pour la psychanalyse, le refoulement est vu comme un mode de défense privilégié contre les pulsions. Le refoulement est l’opération par laquelle le sujet repousse et maintient à distance du conscient des représentations considérées comme désagréables, car inconciliables avec le Moi. » wikipedia.
Le mécanisme du refoulement consiste à rejeter dans l’inconscient des émotions, des affects ou des représentations afin de protéger le Moi de l’individu. (3) Tout le monde met de côté consciemment ou inconsciemment des souvenirs générateurs de déplaisir ou d’angoisse … c’est un mécanisme de défense mis en place par l’individu pour garantir la préservation du Moi.
Il peut exister en effet un « défoulement disciplinaire » en arts plastiques. En effet, je l’ai constaté plus d’une fois chez certains élèves ayant reçu une éducation classique qui avaient beaucoup de mal à se lancer même au collège voire à l’Université, dans des pratiques contemporaines. Pas exemple refuser d’utiliser des aliments dans leurs productions « c’est du gâchis ! », refuser d’installer des objets dans l’espace « c’est n’importe quoi, l’art c’est le dessin, la peinture, etc ».
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Et bien souvent, ces élèves s’autorisant enfin à pratiquer de la sorte car en ayant atteint le sens, se révèlent être extrêmement productifs une fois ces barrières tombées.
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Photographies de Robert Doisneau, célèbre photographe de génie qui savait prendre de fabuleux instants de vie.
Cette conscience disciplinaire est importante car Reuter la pointe : elle peut être le révélateur de la réussite ou de l’échec scolaire …
La lecture de cet article devrait permettre de faire le point sur notre discipline afin de voir ce qui est perfectible, ce qui est juste, ce qui est assimilé par les élèves dans nos classes. A mon avis, la prise en compte de « l’inconscient disciplinaire » devrait nous permettre d’élaborer des outils pour réduire cet écart existant entre les finalités de notre discipline et ses représentations. Reuter remarque que le sens fait souvent défaut dans les représentations disciplinaires …
A la question posée aux étudiants de M1 Master MEEF:
C’est quoi ce fameux sens ?
-On apprend que tout le monde est différent, qu’il y a différentes interprétations, que tout est important quand on crée, Les mises en commun mettent du sens aux productions. C’est le sens de cette culture artistique, passant par la pratique qui jaillit dans les mises en commun. Par la suite, les élèves pourront réutiliser leurs connaissances et analyser les oeuvres d’arts parce qu’ils auront les outils conceptuels pour les comprendre.
(Le sens commence à être présent mais la question centrale est la suivante: comment créer du lien entre les élèves avec ces positions et sensibilités différentes ? (respect de l’autre, tolérance, écoute de ses camarades, ne pas accepter les préjugés, apprendre à voir différemment))
-Un moyen d’expression de ses émotions, une liberté, par rapport au collège, trop jeune je n’arrivais pas à faire le lien entre ce que je faisais et les références artistiques, ça n’avait pas de sens. Si on n’avait pas eu de cours en arts plastiques ce semestre, je n’aurais pas choisi cette option. Au collège je ne voyais pas les concepts artistiques et au lycée j’ai appris cela et à l’ESPE à les adapter au primaire. Au lycée on produisait et on voyait la/notre démarche artistique, alors qu’au collège c’était dénué de sens, Je n’imaginais pas que les AP pouvaient tant apporter aux élèves et faire, créer du lien,
Mettre du sens dans nos pratiques et notre pédagogie dès le plus jeune âge, permettra à l’enfant de grandir sans préjugés et de manière plus libre et responsable. « Comme si un refoulement ancien dont les fins n’apparaissent pas forcément, se jouait là sous les préjugés. Le noir est le danger de la pensée qu’on a : sa part obscure et constante; cette part qu’on ne voit pas, cette part incommodante et qui fait, si l’on n’y veille, retour et non sans dommages. » Charles Grivel, Alexandre DUMAS, l’homme 100 têtes. Les préjugés auront forcément un impact dans la construction de la conscience disciplinaire de l’élève ainsi que dans ses prises de décision ou non qui font l’objet d’une réflexion consciente et attentive. L’école fabrique de l’opaque comme l’écrit Pierre Bourdieu. « L’école a inscrit dans la pensée, dans ses automatismes les plus patents, mais aussi dans ses improvisations en apparence les plus libres, tout un corps opaque d’impensé, fossilisé, naturalisé, auquel paradoxalement, seule l’historicisation peut redonner vie, dont seule l’historicisation (4) peut libérer. »
Ces préjugés peuvent se manifester dans l’action et pas seulement dans la parole. Pourquoi les élèves ont-ils tant de mal à évoquer les pratiques contemporaines lorsqu’on leur demande ce que l’on fait en cours d’arts plastiques ? Peut-être parce que cet « inconscient du geste » les empêche de faire accéder à leur conscience cette diversité des pratiques encore bien controversée dans les mentalités actuelles. Et c’est précisément quand on met du sens dans nos contenus disciplinaires que les préjugés tombent …
Image à la Une : René Magritte
Danièle PEREZ
Mots clé: conscience disciplinaire, inconscient disciplinaire, refoulement disciplinaire, préjugés
Cohen-Azria Cora, Lahanier-Reuter Dominique & Reuter Yves (dir.). Conscience disciplinaire. Les représentations des disciplines à la fin de l’école primaire
(1) http://www.colloqueairdf.fse.ulaval.ca/fichier/Communications/YReuter-Dom-Reuter.pdf
(2) http://www.colloqueairdf.fse.ulaval.ca/fichier/Communications/YReuter-Dom-Reuter.pdf
(3) http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/contents/827-refoulement-psychologie
(4)
- (Néologisme) Prise en compte du contexte historique.
- (Philosophie) Intégration psychique des évènements, qui peut différer selon le contexte et le vécu de chacun.
Sitographie :
https://books.google.com/books?id=PmfvI0bvS8oC&pg=PA113&lpg=PA113&dq=inconscient+disciplinaire&source=bl&ots=wktvo92U6O&sig=qu0OoLvKGwJ89X5IAx6VCPJQmtw&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj13oy_g_HSAhXGVRQKHQflDgQQ6AEIHjAB#v=onepage&q=inconscient%20disciplinaire&f=false
Pierre Bourdieu: L’inconscient d’école:
L’inconscient sociologique,Geoffroy de Lagasnerie, site du CAIRN https://www.cairn.info/revue-les-temps-modernes-2009-3-page-99.htm